Toute personne, homme ou femme, a le droit d’être dans l’espace public, à toute heure, sans être harcelée. Nier cela, c’est faire du « victim-blaming », c’est culpabiliser la victime.
Faut-il que les femmes soient aussi limitées dans leurs possibilités de déplacement ? Faut-il instaurer un couvre-feu ?
Bien sûr que non.
Le problème c’est les agresseurs, toujours. Le problème n’est pas que les femmes soient libres de mener leur vie.
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