Elles les laissent évidemment faire, mais c’est justement parce qu’ils ne sont pas assez nombreux que les ONG sont intervenues en soutien.
Voir l’article du Figaro
Elles complètent l’action des garde-côtes. Si les ONG n’interviennent pas, le nombre de morts augmente. Durant l’année 2016, plus il y avait de bateaux d’ONG, plus la traversée était sûre pour les migrants. Il est prouvé que si l’on arrête les opérations de sauvetage, il y a davantage de morts par noyade. C’est ce qui s’est passé lorsque « Mare Nostrum » a été remplacée par « Triton », une simple opération de surveillance des côtes de l’U.E.
Voir l’article du Monde
Voir l’article de Libération
Voir la carte de l’OIM des naufrages en Méditerranée